INCIPIT

Collection Inci^pit

Les sentiers de neige

Un héros de jeu vidéo sort de son univers pour aider deux pré-adolescents à résoudre leurs traumas enfantins.

Roman canadien de Kevin Lambert
978-2-493213-71-6 – 424 pages – 21,90€

C’est le dernier Noël avant la bascule vers l’âge des grands, le dernier Noël où l’on croit à toutes les magies. Zoey retrouve sa cousine Émie-Anne, avec laquelle il partage un pacte et une mission : sauver Skyd, un héros échappé de son jeu vidéo, qui semble en difficulté, et qui va les guider dans la résolution de leurs traumas.

Par haine des repas de famille, et hantise de la solitude, les deux cousins vont se chercher des alliés dans un monde où le doute affleure à chaque pas. Après les succès de Querelle et de Que notre joie demeure, Kev Lambert nous entraîne dans un univers parallèle directement inspiré de ses lectures d’adolescence.

Kevin Lambert

Kev Lambert a 30 ans, et a grandi à Chicoutimi, au Canada. Titulaire d’un doctorat en création littéraire, très impliqué dans la scène artistique québécoise, il a été libraire et participe aux revues Liberté et Spirale, ainsi qu’à plusieurs émissions de Radio-Canada. Son dernier roman, Que notre joie demeure, a reçu le prix Médicis et le prix Décembre 2023.

Basile di Manski est né dans les années 1990 à deux pas de la Défense. Il commence à dessiner très jeune, en recopiant des portraits de top-models dans les magazines. Peintre, il compose des fresques faussement acidulées ressemblant à des lithographies en hommage à différentes périodes de la ville et de l’architecture. Inspiré dans sa jeunesse par la musique électronique, puis par les skateparks, il est aussi musicien et offre des visions synesthésiques riches en courbes, plans inclinés, et rampes « pour faire du skate au paradis». Après la reprise de son tableau urbain « Le Dilemme » pour illustrer Que notre joie demeure de Kev Lambert, Basie conçoit ad hoc pour Les Sentiers de neige une couverture à la croisée des paysages reculés du Lac Saint-Jean et de la patte graphique de la saga Harry Potter.

« Un des plus beaux livres sur l’enfance que je n’ai jamais lus ! Et quelle langue ! »
Mélanie Chesnais, La Droguerie, Saint-Malo

« Un magnifique roman sur l’enfance. Un véritable conte de Noël, truffé de scènes drolatiques (le génie des dialogues mon dieu !) et d’aventures extraordinaires. »
Antoine Sans, Librairie Le Comptoir des lettres, Paris

« Comme un Peter Pan moderne. Intelligent, souvent provocateur, toujours tendre. Une bataille acharnée contre les diktats de la vie de grand. »
Michael Mathieu, Librairie de Paris, Paris

« Quelle langue, quelle émotion… »
Charlotte Desmousseaux, La vie devant soi, Nantes

« Une enfance queer et l’imaginaire comme échappatoire. Kev Lambert n’a pas fini de nous épater. »
Aurélie Garreau, Le Monte-en-l’air, Paris

« Un point de vue émouvant, acéré et fascinant à la fois. Sans concession mais avec une sensibilité viscérale qui (re)met tant de choses à jour. »
Margot Bonvallet, Passages, Lyon

« Je retrouve à la fois la finesse de son écriture et le côté punk de ses personnages – intelligent, et divertissant. »
Juliette Pelletier, Quai des Brumes, Strasbourg

« La narration n’est jamais dupe de ce que ça coûte d’être en dehors de la norme, et notamment quand on est un enfant dans un monde d’adultes. Bref, génial ! »
Bertrand Brie, Librairie boutique de Richelieu, Paris

« Un nouveau roman bouleversant »
Coup de cœur de l’équipe Mollat à Bordeaux

« Une infinie tendresse malgré la rudesse apparente, et une verve qui rappelle les meilleures scènes des films de Xavier Dolan. »
Librairie Refuge, Guichen

« Un conte de noël étrange et décalé, comme un hymne à l’imagination créatrice. »
Librairie Gallimard, Paris

« Le tour du monde de l’enfance en quatre-vingts chapitres »
Mathieu Lindon, Libération

« La maestria d’une écriture unique »
Stéphane Ehles, Télérama

« Un auteur frondeur qui chérit la liberté plus que tout »
Lilia Hassaine, France Inter

« Une narration radicale et décalée qui nous perd avec brio dans le monde imaginaire de l’enfance. »
Isabelle Lesniak, Les Echos

« Kev Lambert démontre qu’il est un grand auteur sur qui il faut désormais compter »
Christan Dorsan, 20 minutes

« Quand l’enfance parle et construit un monde. »
Jean-Philippe Cazier, Diacritik

« Un conte fantastique délicat, ode à l’imaginaire et portrait d’époque à la finesse remarquable. »
Nicolas Julliard, RTS