Une ode incandescente à l’amitié.
Roman français de Mikela nicole
9782493213068 – 136 pages – 17€
Deux jeunes filles, Chloé et Clara, se réfugient dans la maison de leur enfance, au large de la ville. Elles ont un été, un seul, pour se reconstruire et se retrouver loin d’une civilisation qui les étouffe.
Rendues à l’innocence d’un monde, sans règles et sans limites, elles vont guérir leurs blessures à coups de forêt, de lac, de feuilles, de feu, d’étoiles. Une amitié démesurée, fusionnelle, comme il ne peut en exister à l’âge adulte.
Dans une écriture gorgée de sève et de sensibilité, Mikella Nicol ravive les sentiments extrêmes de la jeunesse qui regrette l’absolu de l’adolescence. Du vertige du désir à celui de l’abandon, elle approfondit les moments les plus douloureux du passage à l’âge adulte.
Mikella Nicol est née en 1992 à Sherbrooke et vit à Montréal. Titulaire d’une maîtrise en études littéraires sur la sororité littéraire, elle a été libraire durant près de huit ans, puis directrice de production au Festival de la poésie de Montréal. Elle est aujourd’hui professeure de français auprès des personnes migrantes. Son premier roman, Les Filles bleues de l’été (Le nouvel Attila, 2022), a reçu le prix Voltaire.
« Nous sommes ici en terre adolescente, dans l’espace imaginaire d’une langue qui a l’audace du plus franc lyrisme, de la poésie abrasive, de la jeunesse. »
Fabrice Gabriel – Le Monde, 02.09.2022
« La beauté de ce roman à deux voix est dans la poésie de sa plume expressionniste, qui magnifie les douleurs silencieuses les plus sombres et leur insuffle une gracieuse légéreté. »
Anne Berthod – La Vie, 24.08.202
« Inventive et poétique, la langue de Mikella Nicol berce les maux indicibles de ceux qui préfèrent s’en aller sans possibilité de retour.
Véronique Cassarin-Grand – L’Obs, 22.08.2022
« Premier roman sous influence woolfienne, dans ce roman affleurent des émotions d’adolescence, poésie et attrait pour le macabre compris.
Thomas Stélandre – Libération, 27.08.2022
« Un récit sensible, poétique, sur l’inadéquation au monde de certains jeunes pour qui la vie ressemble à « une rivière triste qui charrie nos morceaux de banquise ».
Samuel Loutaty – Biba, 01.09.2022
« Mikella Nicol impressionne […]. Pour nous lecteurs, ce roman ne peut être qu’une déflagration. »
Marina Durand – LM Magazine, 01.09.2022
« C’est avec une incroyable justesse que Mikella Nicol restitue la lumière vibratile des amitiés fusionnelles de l’adolescence. »
Sean Rose – Livres Hebdo, 10.06.2022
