INCIPIT

Collection Incipit

La folie de ma mère

Non un journal mais une quête personnelle.
Non une hypnotisante envolée romanesque, mais une écriture blanche et à hauteur d’homme.
Non une grande et joyeuse famille, mais une mère célibataire et égarée.

Roman français d’Isabelle Flaten
9782371001015– 128 pages – 15€

C’est un mal banal et intense, et Isabelle Flaten y accole le nom le plus simple qui soit.
« La Folie de ma mère » est une quête, d’une simplicité désarmante.
La quête d’un père, la quête d’un nom, face au mur de mensonges d’une mère bipolaire.
À l’issue du livre, la folie a contaminé tout l’entourage et c’est au tour de l’héroïne de devenir folle.
Origine du mal, origine de l’écriture, trouvent ici une expression plus pudique et dérangeante que jamais.

Isabelle Flaten est née au milieu du siècle dernier à Strasbourg. Elle a été un temps enseignante, très longtemps flemmarde, jusqu’au jour où décidée à cultiver ses chimères elle a commencé à écrire. Elle a publié plusieurs romans très remarqués des libraires, dont Adelphe (Prix Erckmann-Chatrian 2019) et La Folie de ma mère au Nouvel Attila. Son œuvre minutieuse s’intéresse aux relations avec l’autre et remet l’altérité sans cesse en question.

« Un roman bouleversant. »
Juliette, librairie Quai des Brumes

« Sincère, puissant et poignant ! »
Caroline, librairie au Fil des Pages

« Un roman qui vous happe dès les premières pages et que l’on referme la gorge nouée avec la sensation d’avoir lu un texte d’une rare intensité.»
Librairie Les Traversées (Paris)

« Un beau récit, très fort, dont on ressort secoué. »
Hublots, le blog de Philippe Annocque

« L’on se surprend à constater, lisant ce livre, combien l’écriture a gagné en précision, en mobilité, en maîtrise. Aussi me demandé-je si Isabelle Flaten ne serait pas, ici, à son meilleur. »
Marc Villemain

« La force de ce livre, outre l’histoire qu’il nous rapporte, tient à son rythme. Un texte extrêmement maîtrisé et puissant. »
Frédérique Germanaud

« Une magistrale illustration de ce qui est à l’origine d’une oeuvre d’écrivain : toujours un questionnement. »
Mérédith Le Dez

« Un livre bouleversant sur le manque d’identité et d’ancrage. »
Severine Baaziz

« Ce livre laisse la sensation d’une petite étoile qui brille. Qu’on ne voit pas en plein jour mais qui vous guide dans la nuit la plus profonde. »
Thael Boost

« Ce roman traduit l’amour et son envers de haine, la folie et sa doublure de douleur. Il ouvre ainsi une petite porte, celle de la littérature. »
Camille Laurens, Le Mondes des Livres

« Isabelle Flaten sème sur son parcours littéraire un texte d’autant plus essentiel qu’il est traversé par le souffle poignant du vécu. »
Valérie Susset, Est Républicain Magazine

« Difficile d’abandoner Isabelle Flaten à la folie de sa mère, le rythme et l’empathie poussent à dévorer ses mots. »
Amandine Glévarec, Le Courrier

« Un texte qui m’a touchée pour la maîtrise avec laquelle l’autrice mène l’écriture d’un sujet très difficile. »
Evelyne Sagnes, Mediapart

« Un récit intime où tout sonne vrai et tellement humain. »
Dan Burcea, Lettres Capitales

« Poignant, à l’instar de la lave d’un volcan qui jamais ne s’arrête. Un tourbillon. Un cri dans la nuit. »
Evlyne Leraut, Babelio

« Le roman d’une fille sur sa mère bipolaire, doublé d’un roman d’amour et de douleur sur la filiation.
Un court et intense récit qu’on lit d’un souffle. »
Aline Sirba, Avoir Alire

« Isabelle Flaten fait coexister sobriété et émotion pour donner naissance à un texte d’une grande puissance. »
Amandine Farges, Encres Vagabondes

« Des émotions fortes, intimes et universelles sous une plume accessible emplie de tendresse et de subtilité. »
M. K., Le Capharnaüm éclairé

« Un coup de poing. Exit la lecture prévisible ! »
Isabelle Grell, Autofiction.org

« J’ai été tenue en haleine, remuée au plus profond de moi et suis sortie la gorge nouée de cette lecture. »
Cathulu

« Un roman qui tape fort, qui se parcourt en apnée, qui résonne jusqu’à en être entêtant et obsédant.
À lire d’une traite. »
Warren Bismuth, Des Livres Rances

« Un coup de maître pour ce roman qui ne demande qu’à être connu ! »
Sarah Bigeard, Caprice de Lecture