« Si elle se répétait aujourd’hui, la prise de la Bastille libérerait des milliers de prisonniers de la consommation. »
Roman français de Gauz
Photographie de couverture de Denis Darzacq*
Maquette de l’atelier Cheeri
978-2-37100-004-9 – 192 pages – 17€
Le livre que Franz Fanon n’a pas écrit sur la société de consommation.
Debout-Payé est le roman d’Ossiri, étudiant ivoirien devenu vigile après avoir atterri sans papier en France en 1990.
C’est un chant en l’honneur d’une famille où, de père en fils, on devient vigile à Paris, en l’honneur d’une mère et plus globalement en l’honneur de la communauté africaine à Paris, avec ses travers, ses souffrances et ses différences. C’est aussi l’histoire politique d’un immigré et du regard qu’il porte sur notre pays, à travers l’évolution du métier de vigile depuis les années 1960 — la Françafrique triomphante — à l’après 11-Septembre.
Cette épopée familiale est ponctuée par des interludes : les choses vues et entendues par l’auteur lorsqu’il travaillait comme vigile au Camaïeu de Bastille et au Sephora des Champs-Élysées. Gauz est un fin satiriste, tant à l’endroit des patrons que des client(e)s, avec une fibre sociale et un regard très aigu sur les dérives du monde marchand contemporain, saisies dans ce qu’elles ont de plus anodin — mais aussi de plus universel.
Un portrait drôle, riche et sans concession des sociétés française et africaine, et un témoignage inédit de ce que voient vraiment les vigiles sous leur carapace.
Prix des libraires Gibert Joseph 2014.
Meilleur premier roman français de l’année 2014 au classement annuel des Meilleurs livres de l’année du magazine Lire.
Grand prix Kaïlcedra des lycées et collèges, à Abidjan.
Prix littéraire des lycéens, apprentis et stagiaires de la formation professionnelle en Yvelines (palmarès 2015-2016)
Après avoir été diplômé en biochimie et (un temps) sans-papiers, Gauz est photographe, documentariste, et directeur d’un journal économique satirique en Côte-d’Ivoire. Il a aussi écrit le scénario d’un film sur l’immigration des jeunes Ivoiriens, Après l’océan…
« Notre best-seller des mois et des années à venir… »
Librairie Ouvrir l’œil (Lyon)
« L’une des petits bombes de la rentrée. Sarcastique. Brillant. Objet socio-poétique où la langue et l’analyse pépitent, étincellent. Une écriture dynamique et fuselée. »
Charlotte Desmousseaux (Nantes)
« L’art de rendre génialement grotesque notre société de consommation, servi par une écriture percutante et drôle. »
Sandrine Giraud, Fnac les Halles (Paris)
« ON adooooore Gauz ! »
Amanda Spiegel, Folies d’encre (Montreuil)
« C’est drôle, incisif, d’une ironie délicieuse. »
Christophe Gilquin (Paris)
« Un feu d’artifice de théories pertinentes et drôles… »
Julien Vallon, Esprit Livres (Lyon)
« L’Afrique sur mesure des « men in black » à Paris. »
Quentin Schoëvaërt, Atout Livres (Paris)
« Caustique à souhait et très intelligemment mené. »
Nadia Champesme, Histoire de l’œil (Marseille)
« Les couleurs et les souffrances de la communauté africaine à l’honneur. Une virée sensible, révélatrice, jouissive ! »
Clara, L’imagigraphe (Paris)
« Le livre ressemble à un bon album de hip hop : interludes jubilatoires, rythme percutant, phrasé impeccable et justesse sociologique de tous les instants (…) Un coup de maître. »
Vincent Ladoucette, Gibert (Vaulx-en-Velin)
« Un style et une voix singulière, qui dérange et qui détonne. Incontournable, inoubliable ! »
Julia Lerat, La Librairie de Paris
« Une mythologie de petits moments fugaces. »
Cyril Henry, Gibert Saint Michel (Paris)
« Véritable rafraîchissement littéraire, Debout Payé est un roman à part à faire découvrir ABSOLUMENT ! »
Gwendoline Touchard, Les Mots et les Choses (Boulogne)
« Un objet littéraire inattendu et génialement insolent. »
Sarah Gastel, Terre des Livres (Lyon)
« Lu…dévoré…et adoré. Caustique, intelligent, sans chichi, qui va droit au but. Un vigile n’est pas là pour rigoler, Gauz non plus. »
Aline Pucelle, Delamain (Paris)
« Du souffle, et beaucoup d’énergie dans ce texte caustique plein d’humour où tout le monde en prend pour son grade. »
Pascal Pradon, Les petits Papiers (Auch)
« La liberté de ton. L’invention constante de la langue. La plongée ethnographique dans un quasi monde parallèle, avec ses règles, son vocabulaire, sa bêtise inédite. »
Lucas, Terra Nova (Toulouse)
« C’est aussi un roman sur le langage, il y a une maitrise textuelle percutante, on est fasciné par ce style plein de roublardise, au ton incisif. »
David Goulois, Cultura (Chambray-lès-Tours)
« Original, intéressant, salutaire même, tant il ouvre les yeux avec subtilité et sans facilité. »
Aurélie Durandal, L’Œil au vert (Paris)
« Une perle, une pépite, un livre qui frappe haut et fort, un livre militant. Gauz informe d’une façon intelligente, moderne, drôle et caustique. »
La Cour des Grands (Metz)
« Où l’on (re)découvre, au travers des yeux d’un vigile, bien des choses sur notre société de consommation que l’on ne voyait plus… ou ne voulait plus voir ! Un premier roman drôle et intelligent ! »
Aurore, Fnac des Ternes (Paris)
« Traversez le miroir, entrez dans la peau du vigile, voyez notre société à travers ses yeux. Passez dans le monde des immigrés venus d’Afrique pour exercer la profession de vigile en France. »
Fabrice, Fnac La Défense (Paris)
« Drôle, décapant et sans concessions, la bonne surprise de la rentrée ! »
Le Libr’air (Obernai)
« C’est impertinent, ironique, en quelque sorte un docu-fiction autobiographique, un objet littéraire totalement différent de ce qui existe. Gauz nous en met plein la tronche »
Jean-Baptiste Hamelin, Le Carnet à spirales (Charlieu)
« Gauz nous raconte, avec la faconde du raconteur d’histoires, toute l’immigration de l’Afrique à Paris des années Foccard au 11 septembre 2001. »
Librairie Saint-Christophe (Lesneven)
« Un livre plein d’humour, très malin et très actuel qui nous amène à réfléchir à notre perception des Africains en France. »
Cathy Pesty, bibliothécaire à Vernon
« L’ouvrage pourrait n’être « que » la chronique réussie d’un de ces métiers dont on interroge rarement la réalité. Ce serait déjà beaucoup. Mais Debout-payé est davantage qu’une plongée dans le quotidien de plusieurs générations de vigiles. À la baguette, Gauz relie habilement les fils et les trajectoires, les entremêle, usant d’une plume acide et moqueuse. »
Emilien Bernard, Le Canard enchaîné
« Avec une finesse d’observation redoutable et un humour sarcastique, mais jamais désespéré, ce roman offre une écriture nouvelle et audacieuse, comme on en rencontre peu, à la fois abrupte et ciselée, acerbe et chaleureuse, décapante et généreuse. À l’image de son auteur qui parle comme il écrit, sans mâcher ses mots. »
Christine Legrand, La Croix
« Un roman truffé de choses vues hilarantes »
Astrid de Larminat, Le Figaro
« Encore une leçon du magicien Gauz. »
Claire Devarrieux, Libération
« Branle-bas de combat stylistique dans Debout-Payé, de Gauz, abonné aux moqueries électriques, qui épingle les uns et les autres sans distinction. »
Martine Laval, Siné Mensuel
« L’une des surprises les plus réjouissantes de cette rentrée littéraire, un roman doux et drôle, qui campe la figure du vigile en statue de la liberté. »
Jean Birnbaum, Le Monde des livres
« Un livre puissant écrit dans une langue sèche et pleine d’énergie qui donne à voir le quotidien de ce métier omniprésent et ignore les espoirs et les rêves de cette immigration pas si connue que ça. »
L’Huma
« Quel œil ! Gauz a tout vu, tout observé, tout analysé durant ses quelques expériences de vigile. Il accomplit une plongée dans le temps et dans le territoire des Ivoiriens de Paris. C’est toute la politique de l’immigration qui se dessine à travers ce recueil, dont on retiendra avant tout la verdeur et l’humour. »
Marianne Payot, L’Express
« Un livre alerte, décalé et indispensable.»
La Nouvelle Vie Ouvrière
« Dans le rétroviseur, Gauz jette un regard tendre, qui n’empêche pas la lucidité, sur la communauté africaine. En consacrant un livre à ces hommes de l’ombre que sont les vigiles, Gauz donne finalement voix et vie a ceux qui, curieusement sont invisibles. »
Anthony Dufraisse, Le Matricule des anges
« Ancien vigile chez Camaïeu et Sephora, l’Ivoirien Gauz dévoile les ficelles du métier dans un joyeux mélange de roman et de documentaire. (…) Un costume noir qui en dit long. »
Marguerite Baux, LUI
« Gauz porte un regard tendre et ironique sur notre société de consommation. Il a l’œil et le mot juste. Debout-payé est aussi instructif (et plus cinglant) qu’un précis de sociologie le tout entrecoupé du récit émouvant de son histoire familiale et de ses origines. »
Marie-France
« Gauz met à l’honneur les souffrances, travers et bonheurs de la communauté africaine de Paris, en dressant le portrait grotesque de notre société de consommation. Réjouissant. »
Pèlerin
« Une vraie pépite où se mêlent humour et interrogation sur les relations entre la France et le continent africain. »
Aurélie Pasquelin, La Nouvelle République
« Le regard lucide et moqueur du vigile n’épargne rien ni personne. Il voit tout de nos folies contemporaines. »
Lucie Delaporte, Mediapart, 20/09
« Jouant des formules et litotes, avec un zeste de dérision, l’auteur se révèle un conteur de talent. »
Claude Combet, Livres Hebdo, 20/09
« Sous couvert de drôlerie, l’auteur montre le pathétique de la fièvre acheteuse sous nos latitudes, en mêlant, à la folie des soldes, l’histoire des Ivoiriens à Paris. »
Anne Crignon, Nouvel Observateur
« Gauz sort un premier roman plein d’esprit, d’ironie, de colère, arrimé sur son propre vécu. »
Muriel Steinmetz, L’Humanité
« Avec un humour noir et bigrement loufoque, Gauz leur donne enfin la parole. Brutal, féroce et souvent maladroit, son petit livre vous fera l’effet d’une fouille au corps. »
Lire
« Observateur roublard, contestataire désenchanté, Gauz fait du shopping une mine ethnologique, un impayable sketch et un sport de combat. »
Marguerite Baux, Elle
« Gauz fustige les excès de notre société et signe un premier roman riant où la satire politique prend des faux airs de slam poétique. »
Léonard Billot, Stylist
« C’est drôle, parfois cruel, poétique, presque anthropologique. »
Annabelle Laurent, 20 minutes
« Un regard drôle et profond sur l’immigration »
Jennifer Lesieur, Metronews
« Un conte social poétique »
Anne Seften, Grazia
« L’odyssée immobile du gardien dont les yeux saisissent d’innombrables indices, cruels, caustiques et pathétiques »
Jacques Lindecker, L’Alsace
« Un premier roman à la construction survitaminée. »
Françoise Malbosc, Egolarevue
« Un œil décapant sur les mœurs étranges de notre sauvage société de consommation. »
Marie Chaudey et Frédéric Theobald, La Vie
« Vous ne regarderez plus jamais un vigile de la même façon. »
Fred Jimenez, L’Est Républicain
« L’écriture de Gauz est fuselée, taillée-serrée, slamée. On sourit, se réjouit, il y a toute la vie moderne dans ce texte là, les melting-pots passés au scanner du regard du Debout-Payé. »
Charlotte Desmousseaux, Le Bigre
« Par petites touches, Debout-payé donne à voir l’envers du Paris d’aujourd’hui et d’une société de consommation avec son règne des marques. Le résultat est aussi touchant que mordant. »
Alexandre Fillon, Le Journal du Dimanche
« Mi-roman, mi-essai de sociologie, Debout-Payé réunit saynètes amusantes, rappels historiques, notes en vrac sur les clients du Camaïeu de Bastille ou du Sephora des Champs-Elysées pour se moquer de la folie consumériste et de la politique de l’immigration des années 1960 à l’après-11 septembre. »
Elisabeth Lesne, Hommes & migrations, « La sélection du prix de la Porte Dorée »
« Gauz réussit à introduire le rire et le comique de dérision. Notre monde d’issues fermées qui va a vau-l’eau est vu au travers d’une lentille de mansuétude railleuse et d’affabilité caustique : une manière de flirter avec l’excellence. »
Alphonse Cugier, Liberté Hebdo
« Il y avait le Journal du voleur, de Genet ; il y a maintenant le journal du vigile. »
Guillaume Erner, « Service public » sur France Inter
« Des moments hilarants, très doux et très politiques… Le vigile devient sous la belle plume de Gauz une statue de la liberté. »
Jean Birnbaum, directeur du Monde des livres, aux Matins de France Culture animés par Marc Voinchet
« Un bonheur et un régal. Une verve assez incroyable. Ce livre fourmille de moments iconoclastes et inattendus : à lire et à découvrir dans les moindres détails. L’entomologiste qu’est Gauz trouve des manières de parler, d’observer les gens dans une langue qui fait toute la richesse du roman, avec ironie, satire et distance sur le monde. »
Nicolas Delescluse, radio Paludes
« Le roman le plus politique de ma rentrée. »
Richard Gaitet, Nova Book Box
« Un vigile qui ne manque pas d’humour tout en gardant son sérieux, tout en déployant un sacré regard sur un monde qui semble marcher sur la tête. »
Radio PFM
« La force de Gauz, c’est ce petit décalage et cette distance qu’il a par rapport à la situation. Le vigile devient un sociologue formidable. »
Zone critique, RTS
« Ce livre doit se transmettre comme un trésor. »
Nathalie Zylberman, Vallée FM
« Je suis sûre que Patrick Modiano adorerait ce livre, la façon dont il décrit ce Paris peu connu avec ce regard à la fois très poétique, très tendre et très acéré. Un regard d’ethnologue et de romancier. »
Colombe Schneck, En haut de la pile, France Inter
« Un des livres les plus acérés de la rentrée »
Un livre un jour, France 3
« Premier roman très prometteur, un récit sans aucun tabou, avec un style qui déménage »
François Busnel, La grande librairie, France 5
« Debout-payé, assis-publié : formidable ! »
Elisabeth Quin, 28 minutes, ARTE
« Ce petit livre assassine la France consumériste. Une écriture truculente, beaucoup de répartie et de traits d’esprit. C’est très juste, c’est très piquant, il arrive même que ce soit beau. Je dis BRAVO ! »
Augustin Trapenard, Grand Journal de Canal +
« C’est la bombe de la rentrée littéraire ! »
Thomas Thouroude, Before du Grand Journal de Canal +
« Debout-payé : extra ! »
Pierre Lescure, C à vous
« Une immersion à la fois drôle, tendre, caustique, ironique et cinglante, un vrai régal de lecture. »
Jessica Nelson, dans Au Field de la nuit, TF1
« Magnifiquement bien écrit. »
Le blogueur Jérôme (D’une berge à l’autre) sur Europe 1
« Chacun se retrouve en lisant Debout-payé. On sourit de toutes les couleurs, au fil des douches froides, tièdes ou chaudes qu’on reçoit ligne après ligne. »
Famchocolat
« C’est très bien écrit, c’est drôle, empreint d’une ironie mordante qui fait mouche. Le regard porté par Gauz sur sa communauté est aussi tendre que lucide. »
D’une Berge à L’autre
« Pas besoin de lire plus de cinq pages de Debout-payé pour être séduit et comprendre qu’on ne va pas lâcher le livre jusqu’à la fin. »
Le photoblog de Renaud Monfourny
« Un premier roman brillant et follement amusant. Délicieuse révélation incontournable de la littérature africaine et francophone. Une virée littéraire jubilatoire à ne manquer sous aucun prétexte ! »
Adepte du livre
« Un humour et un sens de l’observation redoutables. »
Fils de lecture
« Un roman étonnant et… détonnant ! »
Lire au jour le jour
« Rien de tel qu’un regard étranger pour revisiter notre société française de manière particulièrement caustique, acérée et hautement réjouissante. »
Lecture-écriture
« Le livre & le gars du moment : Debout-Payé de Gauz. »
Le gri-gri international
« Il était temps qu’un ethnologue de terrain nous aide à mettre en lumière les travers et tares des blancs pas si blancs que nous sommes. »
Ça fait désordre
« Gauz est un vrai marginal au sens positif du terme : il se trouve à la marge de deux mondes et peut poser un regard critique sur chacun. »
Liesel Schiffer
« Debout-payé s’impose comme un parfait exemple d’une volonté de manier autrement les mots, de réfléchir la langue avec des intentions nouvelles et qui nous bouscule, confortables lecteurs que nous sommes assis sur nos habitudes. »
Benoit Colboc, « Lisez-riez »
« C’est tout le talent de cet auteur mystérieux (premier roman, nom étrange) que de se promener habilement entre les genres, à la lisière de l’impressionnisme, du réalisme social, de la fresque politique et de la brève de comptoir. »
Shangols
« J’ai souri en douce et fini par rire aux éclats avec Debout-payé de Gauz. »
Gillette Aho, Huffington Post
« Un roman caustique, cynique et drôle sur les dessous du métier de vigile à Paris qui en dit long sur le racisme et la futilité de notre société de consommation… »
Interview réalisée par Julien Le Gros pour The Dissident
Interview de Gauz réalisée par la librairie Mollat
Documentaire sonore sur les vigiles réalisé par Aude Rabillon, La parole est à ceux qui nous observent. Impassibles, devant un magasin, un entrepôt, une boite de nuit, ils observent.
Parfois, une oreillette, et des voix leur parlent. Souleymane, Pap, Kasa : « Debout-payé », c’est leur métier.
Cliquer ici si vous ne voyez pas de piste audio.
* Photo de la couverture
Denis Darzacq, membre de l’agence VU, a débuté la photographie en suivant la scène rock française et sur les plateaux de cinéma. Il débute son travail personnel dans les années 90, en créant une mise en scène dans ses prises, où par leur état et leur pose, les corps bouleversent l’ordre établi, et questionnent la place des individus dans la cité. Sa série intitulée « La Chute » est d’abord inspirée d’un reportage sur les danseurs hip-hop, où les corps des danseurs en plein saut imposent leur dynamisme à la gravité et à l’espace. C’est la 19e photo de la série qui apparaît sur la couverture d’Aujourd’hui l’abîme, dans laquelle le bitume du sol évoque la mer, l’éther, le ciel. Il a notamment publié La Chute et Hyper chez Filigranes, Bobigny centre-ville (avec Marie Desplechin) et Act chez Actes Sud.