soft touch

Collection Corps et Sexualité

Y avait-il des limites si oui je les ai franchies mais c'était par amour ok

Un manifeste d’affirmation féministe cru et libératoire, dans la lignée de Virginie Despentes et Nelly Arcan

Un manifeste de Michelle Lapierre-Dallaire
978-2-493213-26-6 – 156 pages – 17€

Michelle Lapierre-Dallaire dit, dans un texte aux accents sidérants, comment elle a assumé puis retourné les violences subies à l’enfance et l’adolescence, pour ne plus être le jouet des hommes.

Avec une franchise incisive qui en fait un manifeste d’affirmation et de survie, elle reprend en les renversant tous les a priori sur le féminisme, la manière de vivre son corps, la maladie mentale et les relations sexuelles, jusqu’aux plus crues.

Elevée entre une mère adorante mais mythomane, et un beau-père humiliant et brutal, elle décide à 14 ans de prendre l’initiative et de retourner la provocation contre les hommes. Elle sera débarrassée, non de la souffrance, mais de la honte.

D’une intensité vitale qui rappelle Nelly Arcan, Virginie Despentes, et Wendy Delorme, ce premier roman provoque un état de saisissement, qui est celui des grands manifestes, incarnés au-delà du possible. Un manuel de survie, ou d’antirésilience…

« On met nos plus belles robes de salopes intellectuelles, pis on va mettre le feu à la Librairie du Soleil. »

Michelle Lapierre-Dallaire est née au Lac St-Jean en 1993. Elle vit à Gatineau. Y avait-il des limites si oui je les ai franchies mais c’était par amour ok est son premier roman.

« Une déferlante de sensibilité »
Librairie à soi.e, Lyon

« Chaque page est une gifle. Ces mots crus sont indispensables, et le résultat est poignant. »
Le Comptoir des mots, Paris

« Pour commencer l’année en bombe. »
La Régulière, Paris

« Des fois il est nécessaire de replonger dans l’abîme de nos vies pour mieux cerner l’ennemi. »
Juliette, Quai des Brumes, Strasbourg

« Un texte mémorable »
Maison Marguerite, Nantes

« Ça ne pleure pas ça tabasse, ça hurle et ça vomit de rage cet urgent désir de dépassement de soi. Qu’est ce que c’est puissant ! »
La librairie de l’Ourq, Paris

L’avertissement en amont de ce livre n’est pas vain. Il y est en effet question de sujets sensibles et douloureux. Chaque page ou presque est une gifle et certains paragraphes sont lus au bord de la nausée. Mais fichtre ! Que ces mots crus sont indispensables et que le résultat est poignant !
Théodore Dillerin, Le Comptoir des Mots

« Un roman qui fout le feu à l’auto-fiction. »
Le Vif / L’Express

« Entre oralité et mots laissés pour compte en littérature, l’autrice affirme sans jamais s’en excuser la transgression que représentent son existence et sa voix.»
Sophie Benard